c'est quoi le dp world tour

DP World Tour

Circuit professionnel de golf masculin / de wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia, cher wikiwand ia, faisons court en répondant simplement à ces questions clés :.

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Pour les articles homonymes, voir PGA European Tour .

Le DP World Tour , anciennement nommé Tour européen PGA , est un circuit de golf professionnel masculin , le plus important d' Europe . Il est mis en place pour la première fois par l'association britannique professionnelle PGA mais devient indépendant en 1984.

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ( août 2013 ).

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section «   Notes et références   »

En pratique   : Quelles sources sont attendues   ? Comment ajouter mes sources   ?

Ses tournois ont principalement lieu en Europe, mais se sont étendus depuis quelques années à d'autres endroits du monde ainsi qu'aux plus grands tournois américains.

DP World Championship : Le qui, que, quoi du 1er tour

Un capt'ain america leader à dubaï, un rose piquant, un dubuisson décevant... tout ça et plus encore à retenir après ce premier tour de la finale du tour européen à dubaï., on achète....

Le 65 de Patrick Reed of course ! Le Texan n'a fait qu'une bouchée du Earth Course : 7 birdies sans la moindre bavure. Et il avait même poussé la provoc' jusqu'à porter les couleurs de son équipe américaine en Ryder (froc rouge, polo bleu, gapette blanche). Le héros made in USA de la dernière Cup à Hazeltine est à la recherche de son deuxième titre sur le Tour européen. S'il continue à jouer aussi proprement, ça va tomber tout seul. Et puis, quand Reed est devant dès le premier tour c'est succès garanti trois fois sur quatre à en croire les stats du Tour... Et quand il ne gagne pas il termine second... So...

La satisfaction du jour

Dans la course au titre de n°1 européen, Justin Rose (-6) a pris un net avantage sur Tommy Fleetwood (+1). Le vainqueur de l'US Open 2013 surfe sur son éclatante forme du moment (deux succès de rang, Turquie et WGC) et a eu bien raison de faire un break la semaine passée. On sent JR parfaitement en contrôle de son jeu sur un tracé qui lui réussi souvent (il y scorait même 62 en 2010, record toujours en cours).

Probability of #RaceToDubai win: Yesterday: Fleetwood 73%, Rose 24%, Garcia 3% Now: Rose 66%, Fleetwood 31%, Garcia 3% pic.twitter.com/3nHuWw4Xcx — The European Tour (@EuropeanTour) 16 novembre 2017

La stat qui tue

Jamais un seul vainqueur du DP World Tour Championship n'a scoré dans le par ou au dessus lors du premier tour. S'il veut remporter la Race, Tommy Fleetwood n'a pas forcément besoin d'un succès. Mais il doit au moins faire jeu égal avec Justin Rose. Et c'est mal embarqué...

On aime bien...

- Le 68 de Nicolas Colsaerts . Le Belge trouve un terrain très favorable à son jeu à Jumeirah. Après un aller sans faute (4 birdies), le Cols perdait le fil sur les greens (bogey au 11). Mais une merveille de coup de fer au 17 le propulsait au 10e rang avec des zozos costauds comme Martin Kaymer, Julian Suri ou Andy Sulivan à ses côtés. - Le 69 de Jon Rahm (qui en fait s'en fout royalement de la façon dont on prononce son prénom au passage). Six birdies, trois bogeys le tout dans une partie disputée avec Sergio Garcia qui étrenait ses nouveaux clubs (oui des Callaway dans tout le sac, mais tchutchut pas de marque...) et qui postait un coup de plus (-2, 21e).

Le 75 vraiment étonnant de Victor Dubuisson dans ce premier tour. Pourquoi étonnant? Parce que le Français est chez lui à Jumeirah (68 et des brouettes de moyenne avant ce jeudi en cinq apparitions!) et que son début de partie était dans la veine de son état de forme étincelant du moment. -3 après huit trous, aucun nuage à l'horizon avant l'orage sous le soleil : bogeys aux 9, 11 et 12. Puis le coup de massue au 16 : drive dans le profond bunker de droite. Sortie qui touche la lèvre et trouve le ruisseau quelques mètres plus loin. Drop, coup de fer suivant un peu trop long. Deux putts depuis le bord du green plus tard et le 6 était signé sur ce par 4. Mauvais coup de fer au 17, nouveau bogey. Puis ce birdie qui ne tombe pas au 18. 54e pour l'instant, le Français a encore trois tours pour relever la tête.

Trajectoires opposées pour @MikeMlv et @Vdubush ce jeudi au @DPWTC -2 avec le putter pour l'un +3 sans saveur pour l'autre... #golf #jumeirah #wow pic.twitter.com/bkah6UyUyE — Martin Coulomb (@MartinCoulomb) 16 novembre 2017

MLV au mental

De son propre aveu, Mike Lorenzo-Vera est toujours un peu engoncé dans les changements techniques qu'il opère depuis la mi-saison avec son nouvel entraîneur Justin Parsons. Pourtant, le score reste plutôt bon après ce bizutage : -2 à Jumeirah ça reste propre. « Ce 70, il vient de ma patience, d'un bon wedging et de mon putter », lançait MLV au recording. Il puise aussi ses racines dans un coup de fer hallucinant au 15. En difficulté sur ce court par 4 après un drive manqué à gauche dans les écorces, Mike parvenait à planter un drapeau pourtant peu accessible de cette position et à concrétiser par un putt plein trou. « Ce 15 c'était un bonus pas prévu. »

Ok on a senti (et il a confirmé) que le jeu de @MikeMlv était un peu engoncé dans ses changements techniques récents. Mais propre de sortir -2 malgré tout avec la tête, le putter et les wedges ! #Golf #DPWTC17 #Michel pic.twitter.com/IQ5xRhw5Lp — Martin Coulomb (@MartinCoulomb) 16 novembre 2017

La Pav' dans les clous

De son côté Matthieu Pavon a rendu un premier tour sous le par (-1) dans sa finale inaugurale de la Race. Ce sont les greens qui ont posé des soucis au Bordelais ce jeudi : « J'ai juste un peu du mal à trouver la bonne vitesse. J'avais tendance à tout putter un peu trop fort. On voit bien les pentes, mais il y a un grain assez important. Et dès qu'on a un putt en descente en particulier, la balle prend vraiment de la vitesse et il faut savoir bien anticiper le truc. Quand on est à moins de 3m c'est facile à faire, ça l'est un peu moins avec des putts de 7 ou 8m. » 3 bogeys pour autant de 3 putts qui font penser que La Pav' en a sous le pied à Jumeirah vu son grand jeu globalement très présent !

Un premier tour juste sous le par (-1) la faute a un putting sans saveur (gestion de la vitesse et du grain). @mattpavon quand même sacrément impressionant de maturité... #golf #lapav #DPWTC pic.twitter.com/Ac6MPewagM — Martin Coulomb (@MartinCoulomb) 16 novembre 2017

Pas de miracle pour Hébert

Ça aurait pu être la très belle surprise de cette semaine. Mais Benjamin Hébert est de nouveau resté aux portes de sa première finale. L'espoir était pourtant permis ce matin quand en arrivant au golf on croisait le copilote du Français qui filait aux nouvelles d'un Peter Uilhein apparement souffrant. La possibilité d'un scratch de l'Américain tiendra peu de temps. Oui il a filé voir le médecin, mais il a tout aussi vite filé au départ ensuite...

Le PGA Tour, le DP World Tour et le LIV Golf, unis dans le même club-house

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Les Tours américain et européen se sont rapprochés de la Ligue dissidente en signant « un accord qui combine les activités commerciales et les droits »

La guerre du golf n'aura pas lieu : les circuits nord-américain PGA et européen DP World Tour vont fusionner avec le LIV , soutenu par l'Arabie saoudite, dont l'émergence avait attiré certains des meilleurs joueurs actuels, fracturant le monde feutré de la petite balle blanche.

• Le classement mondial des meilleurs joueurs de Golf

De façon inattendue, le PGA Tour a indiqué mardi avoir « signé un accord qui combine les activités commerciales et les droits » du puissant fonds souverain saoudien (Pif) dans le golf, incluant le circuit LIV, avec les siens et ceux du DP World Tour « dans une nouvelle entité à but lucratif détenue collectivement », sans que les détails financiers n'en soient dévoilés.

«C'est une journée fantastique»

Lancé en octobre 2021, le LIV a attiré depuis certains des meilleurs golfeurs du monde, anciens N.1 mondiaux et lauréats en Grands Chelems, de Dustin Johnson à Brooks Koepka qui vient de remporter le Championnat PGA, apportant un premier Majeur dans le club-house du futur ex-circuit dissident, en passant par Phil Mickelson. « C'est une journée fantastique aujourd'hui », a d'ailleurs tweeté ce dernier.

Le PGA Tour, soutenu par Rory McIlroy et Tiger Woods montés au front médiatique, avait apporté une réponse ferme, en excluant les dizaines de golfeurs concernés, leur interdisant toute participation à ses tournois, mais pas aux Grands Chelems qui ne sont pas soumis à sa direction et ont décidé de laisser leurs portes ouvertes.

Surprise chez les joueurs

« Après deux années de perturbations et de distractions, c'est un jour historique pour le sport que nous aimons tous », a déclaré Jay Monahan, patron du PGA Tour qui avait pourtant été en pointe de la lutte contre le LIV.

« Ce nouveau partenariat reconnaît la force incommensurable de l'histoire, de l'héritage et du modèle procompétitif du PGA Tour et y associe le DP World Tour et le LIV pour créer une instance qui profitera aux joueurs, aux partenaires commerciaux et caritatifs et aux fans », a-t-il assuré. Le patron du Pif Yasir Al-Rumayyan présidera le conseil d'administration de la nouvelle entité, dont le nom reste à être dévoilé, et Monahan en sera le directeur général.

« Rien de tel que d'apprendre que nous fusionnons avec un circuit, alors que nous avions dit que nous ne le ferions jamais  » Mackenzie Hughes

Cette annonce faite mardi, presqu'un an jour pour jour après le premier tournoi estampillé LIV disputé à Londres, personne ne l'a vue venir, pas même les joueurs eux-mêmes. « Rien de tel que d'apprendre que nous fusionnons avec un circuit, alors que nous avions dit que nous ne le ferions jamais », a tweeté le Canadien Mackenzie Hughes.

Elle survient plus d'un an de litiges et de batailles juridiques lancées, qui vont donc cesser avec cet accord trouvé, lequel résulte d'une logique économique. Car la PGA, qui a également tenté le bras de fer sur les sommes offertes pour conserver ses meilleurs joueurs, face au LIV et ses dotations records à 25 millions de dollars par épreuve, comprenant une garantie sur la seule participation, avait manifestement plus à perdre à défendre ses seuls intérêts, face aux fonds illimités saoudiens, qu'à les grossir avec une entité commune.

« Une nouvelle ère »

Cet accord « engendrera une nouvelle ère dans le golf mondial, pour le meilleur », a promis Jay Monahan. De quoi en revanche fâcher un groupe représentant les familles des victimes des attentats du 11 septembre 2001, qui n'a pas manqué de critiquer le dirigeant et son instance pour leur « hypocrisie et cupidité », s'estimant « trahi, car il apparaît que leur préoccupation pour nos proches n'était qu'une façade dans leur quête d'argent ».

Quinze des 19 pirates de l'air lors de ce jour funeste étaient des citoyens saoudiens. « Aujourd'hui est un jour très excitant pour ce sport et les personnes qu'il touche dans le monde entier », a indiqué pour sa part Yasir Al-Rumayyan. « Nous nous engageons à unifier, promouvoir et développer le golf dans le monde entier et à offrir un produit de la plus haute qualité aux millions de fans de longue date, tout en attirant de nouveaux fans. »

Avec le LIV partageant désormais le même club-house que la PGA, c'est une preuve supplémentaire de la vaste offensive gagnante menée par l'Arabie saoudite dans le sport, sous l'égide du prince héritier Mohamed Ben Salmane.

Dernier investissement majeur en date, le club d'Al-Ittihad a engagé pour trois ans, à partir de la saison prochaine, la star du foot Karim Benzema qui vient de quitter le Real Madrid. Le Ballon d'Or français va ainsi rejoindre Cristiano Ronaldo dans le royaume.

• DP World Tour
• LIV Golf Series

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Grincheux44120

le 12/06/2023 à 08:03

foutaise ... il n'y a plus que le pognon qui compte

le 12/06/2023 à 07:47

Les joueurs du LIV vont-ils rendre l’argent ?

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Le PGA Tour, le DP World Tour et le LIV Golf fusionnent

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Un accord historique visant à unifier le jeu de golf à l’échelle mondiale a été conclu le mardi 6 juin 2023 entre le PGA Tour, le DP World Tour et le Fonds d’investissement public (PIF) d’Arabie saoudite, pourvoyeur principal du LIV Golf.  

Coup de tonnerre ! Comme le souligne le communiqué de presse du Tour européen, « le PGA Tour , le DP World Tour et le Fonds d’investissement public (PIF) d’Arabie saoudite ont signé un accord qui combine les activités commerciales et les droits liés au golf (y compris le LIV Golf ) dans une nouvelle entité à but lucratif détenue collectivement pour garantir que toutes les parties prenantes bénéficient d’un modèle qui offre un maximum d’excitation et de compétition entre les meilleurs joueurs du jeu. » 

De plus, le PIF effectuera un investissement en capital dans la nouvelle entité pour faciliter sa croissance et son succès. La nouvelle entité (dont le nom reste encore à déterminer) mettra en œuvre un plan pour développer ces activités commerciales combinées, susciter un plus grand engagement des fans et accélérer les initiatives de croissance déjà en cours. Avec le LIV Golf, le PGA Tour, le DP World Tour et le PIF travailleront ensemble pour mieux présenter et développer le golf d’équipe à l’avenir. 

La fin de tous les litiges…

Cette annonce historique sera suivie d’une fin mutuellement convenue de tous les litiges en cours entre les parties participantes. De plus, les trois organisations travailleront en coopération et de bonne foi pour établir un processus équitable et objectif pour tous les joueurs qui souhaitent présenter une nouvelle demande d’adhésion au PGA Tour ou sur le DP World Tour à l’issue de la saison 2023 et pour déterminer les justes critères et conditions de réadmission, conformément aux politiques de chaque circuit.  

«  Après deux ans de perturbations, c’est un jour historique pour le jeu que nous connaissons et aimons tous , a déclaré le patron du PGA Tour, Jay Monahan . Ce partenariat reconnaît la force incommensurable de l’histoire, de l’héritage et du modèle pro-compétitif du PGA Tour et combine avec lui le DP World Tour et le LIV – y compris le concept de golf d’équipe – pour créer une organisation qui profitera aux joueurs de golf, aux partenaires commerciaux et caritatifs ainsi que les supporters. À l’avenir, les fans peuvent être sûrs que nous allons, collectivement, tenir la promesse que nous avons toujours faite – promouvoir la compétition des meilleurs golfeurs professionnels et que nous nous engageons à assurer et à conduire l’avenir du jeu. »

Nous sommes ravis d’aller de l’avant, en phase avec l’expérience d’investissement de classe mondiale du LIV Golf et du PIF, et je félicite le gouverneur du PIF, Yasir Al-Rumayyan, pour sa vision et son approche collaborative et avant-gardiste Jay Monahan (PGA Tour)

«  Nous sommes ravis d’aller de l’avant , ajoute Monahan, e n phase avec l’expérience d’investissement de classe mondiale du LIV Golf et du PIF, et je félicite le gouverneur du PIF, Yasir Al-Rumayyan , pour sa vision et son approche collaborative et avant-gardiste qui n’est pas seulement une solution à la rupture de notre jeu, mais aussi un engagement à l’amener vers de nouveaux sommets. Cela engendrera pour le mieux une nouvelle ère dans le golf mondial. »

«  C’est un grand jour pour le golf et pour ses acteurs dans le monde entier , a déclaré le gouverneur du PIF, Yasir Al-Rumayyan.  Nous sommes fiers de nous associer au PGA Tour pour tirer parti du succès sans précédent du PIF et de ses antécédents en matière de création de valeur et d’apport d’innovation et de meilleures pratiques mondiales aux entreprises et aux secteurs du monde entier. Nous nous engageons à unifier, promouvoir et développer le jeu de golf et à offrir le produit de la plus haute qualité aux millions de fans de longue date dans le monde, tout en cultivant de nouveaux fans.  » 

Il ne fait aucun doute que le modèle LIV a été positivement transformateur pour le golf Yasir Al-Rumayyan (PIF)

« I l ne fait aucun doute que le modèle LIV a été positivement transformateur pour le golf , poursuit-il.  Nous pensons qu’il existe des opportunités pour que le jeu évolue tout en conservant son histoire et sa tradition. Ce partenariat représente la meilleure opportunité d’étendre et d’augmenter l’impact du golf pour tous. Nous sommes impatients de collaborer avec Jay et Keith ( Pelley ) pour apporter la meilleure version du jeu aux communautés du monde entier.  »

Selon les termes de l’accord, le conseil d’administration de la nouvelle entité supervisera et dirigera toutes les opérations commerciales, les entreprises et les investissements liés au golf de la nouvelle entité. Celle-ci travaillera pour assurer un calendrier cohérent d’événements. Le PIF sera dans un premier temps l’investisseur exclusif de la nouvelle entité, aux côtés du PGA Tour, du LIV Golf et du DP World Tour. À l’avenir, le PIF aura le droit exclusif d’investir davantage dans la nouvelle entité, y compris un droit de premier refus sur tout capital pouvant être investi dans la nouvelle entité, y compris dans le PGA Tour, le LIV Golf et le DP World Tour. Le PGA Tour nommera la majorité des membres du conseil d’administration et détiendra une participation majoritaire avec droit de vote dans l’entité combinée.

Le LIV et le DP World conservent une surveillance sur leur circuits respectifs

Par ailleurs, PGA Tour Inc. restera en place en tant qu’organisation exonérée d’impôt 501(c)(6) et conservera la supervision administrative des événements pour les actifs apportés par le PGA Tour, y compris la sanction des événements, l’administration de la compétition et les règles avec Jay Monahan en tant que commissaire et Ed Herlihy en tant que président du conseil d’administration du PGA Tour. Le gouverneur du PIF, Yasir Al-Rumayyan, rejoindra le conseil d’administration du PGA Tour. Le DP World Tour et le LIV Golf conserveront une surveillance administrative similaire des événements sur leurs circuits respectifs.

Le conseil d’administration de la nouvelle entité commerciale comprendra Yasir Al-Rumayyan en tant que président et Jay Monahan en tant que directeur général ; le conseil d’administration de la nouvelle entité comprendra également un comité exécutif composé d’Al-Rumayyan, Monahan, Herlihy et Jimmy Dunne , membre du conseil d’administration du PGA Tour. La composition complète du conseil d’administration sera annoncée à une date ultérieure et il est prévu que les trois membres fondateurs seront représentés.

Nous sommes ravis de pouvoir non seulement relancer notre relation avec le PIF, mais aussi d’avoir l’opportunité de tirer parti de notre partenariat actuel d’alliance stratégique avec le PGA Tour. Keith Pelley (DP World Tour)

« C’est une journée mémorable , a de son côté souligné Keith Pelley, le Directeur général du DP World Tour.  Nous sommes ravis de pouvoir non seulement relancer notre relation avec le PIF, mais aussi d’avoir l’opportunité de tirer parti de notre partenariat actuel d’alliance stratégique avec le PGA Tour. Ensemble, nous serons plus forts que jamais et bien placés pour continuer à apporter le jeu aux quatre coins du globe. S’associer à cette nouvelle entité et influencer la croissance du jeu pour tous nos membres du DP World Tour est excitant.  »

Toutes les parties travailleront dans les mois à venir pour finaliser les termes de l’accord, les détails devant être annoncés en temps voulu.

Photo : ROSS KINNAIRD / GETTY IMAGES EUROPE / Getty Images via AFP

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Que disent les chiffres ?

Les victoires récentes d’ Antoine Rozner  (à  l’Afrasia Bank Mauritius Open ) et de  Victor Perez  (à  l’Abu Dhabi HSBC Championship ), toutes deux glanées sur le  DP World Tour , ont jeté une lumière crue sur un phénomène à l’œuvre depuis quelques mois : le circuit du Vieux continent rapporte beaucoup moins de points que le  PGA Tour  nord-américain au classement mondial. Il en rapportait déjà moins auparavant, mais là, ça commence à faire masse.

Prenons un exemple : en mai 2022, par sa  victoire aux Pays-Bas  à une époque où régnait encore "l’ancien système",  Victor Perez  a inscrit 24 points au classement mondial. Huit mois plus tard, en s’imposant à Maurice,  Antoine Rozner  n’en a inscrit que… 8,5. Sur les tournois plus conséquents, même topo : Perez a engrangé 25,9 points en s’imposant en janvier au  Yas Links . Plus tard dans la même journée, et si l’on admet que l’on fait cadeau des dixièmes,  Jon Rahm  a inscrit deux fois plus de points en remportant l’ American Express , sur le  PGA Tour . Bref, on peut retourner la chose dans tous les sens, il est un fait : l’écart entre les deux circuits, si l’on parle uniquement des points qu’ils rapportent au classement mondial, grandit.

D’où cela vient-il ?

Le phénomène n'a que très peu à voir avec la qualité de jeu intrinsèque des joueurs sur les deux côtés de l'Atlantique. Il est avant tout mécanique. Tout d’abord, quelques explications rapides sur la manière dont l’ Official World Golf Ranking , nom de scène du classement mondial professionnel messieurs, fonctionne. Restez, ça ne parlera pas de maths.

Le système, qui prend en compte les résultats des deux dernières années, est basé sur le niveau général du champ de joueurs d’un tournoi auquel un joueur participe. Plus les participants sont bien classés, plus la performance du joueur rapportera de points s’ils se classe dans les places récompensées. À ce titre, gagner un Majeur rapportera plus que gagner un tournoi régulier, qui lui-même rapportera plus qu’un tournoi de circuit de deuxième division. Jusque-là, tout est logique.

Pour lui garder une pertinence maximale, les sept membres de la structure gérant le classement mondial procèdent, à intervalles assez réguliers de deux à trois ans, à des ajustements de méthode de calcul. Ces sept membres sont la  PGA of America , la  Fédération internationale des circuits PGA , l’ USGA , le  PGA Tour , l’ Augusta National , le  R&A  et la  PGA européenne . Dit en un mot, tous les poids lourds du golf professionnel masculin de cette planète, englobant à eux sept les quatre Majeurs et tous les circuits considérés comme de première division, sans parler de leurs nombreux satellites.

La dernière réforme a été annoncée en août 2021, avant d’entrer en vigueur un an plus tard. Elle contenait, entre autres choses, une mesure responsable en grande partie de l’agrandissement de l’écart entre le  PGA Tour  et les autres (car le  DP World Tour  n’est pas le seul concerné) : la fin du minimum de points garantis à chaque circuit.

Concrètement, avant août 2022, les tournois du  DP World Tour  avec les champs les plus faibles offraient malgré tout la garantie à leur vainqueur d’inscrire 24 points au classement mondial. D’où la somme récoltée, d’ailleurs, par Victor Perez aux Pays-Bas. Une disposition qui irritait certains membres du PGA Tour, s’estimant quelque peu pénalisés. Or donc, cette disposition a disparu, et désormais, les tournois sont évalués sans tenir compte de leur circuit d’appartenance.

L'ÉCART ENTRE LE NOMBRE DE POINTS MONDIAUX GAGNÉS PAR VICTOR PEREZ LORS DE SA VICTOIRE AUX PAYS-BAS, EN MAI 2022 (24) ET LORS DE SON SUCCÈS À ABOU DHABI, EN JANVIER 2023 (25,9). LE SECOND TOURNOI, ÉTAPE DES ROLEX SERIES, ÉTAIT POURTANT CINQ FOIS MIEUX DOTÉ.

Mais alors, quel est le problème ? Rendre le classement plus juste ne va-t-il pas dans le bon sens ? L’ambition affichée par le comité au moment de la mise en œuvre de la réforme était en tout cas clairement celui-là : débarrasser le classement de ce qui était considéré comme des biais, et ne lui appliquer que la réalité du terrain. Sauf que…

Déjà, le nouveau système en lui-même montre parfois quelques faiblesses structurelles. Ainsi, la semaine passée, l’Américain  Chris Kirk , en remportant le  Honda Classic , sur le PGA Tour, a inscrit 31 points. Il triomphait alors d’un champ de joueurs où figuraient sept membres du top 50 mondial, le meilleur d’entre eux étant classé 18e. Pourtant, fin janvier, lors du  Hero Dubai Desert Classic ,  Rory McIlroy  s’est imposé à l’issue d’un tournoi auquel participaient neuf membres du top 50, dont le n°1 mondial (qui n'était autre que lui-même). Combien de points a-t-il marqués ? "Seulement" 29.

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« Ça ne va faire qu’empirer »

Et puis demeure l’autre problème : celui de la dynamique du système, à mesure que les tournois, voire les saisons, vont s’enchaîner.  « C’est un écart qui, a priori, ne va faire qu’empirer,  résume  Antoine Rozner .  Ce dont on se rend compte, c’est que le système de calcul nous fait marquer vraiment très peu de points, et surtout beaucoup moins qu’avant. Les joueurs du DP World Tour vont peu à peu perdre des places au ranking, et on va encore avoir moins de points. »

Typiquement, les 8,5 points de la victoire du Francilien à Maurice, fin décembre, lui ont moins rapporté que le nombre de points "plancher" accordé, à l’époque, aux tournois du  Challenge Tour , la deuxième division européenne.  « Je suis conscient que c’était sûrement le plus petit champ de l’année,  admet-il.  24 points, comme dans l’ancien système, c’était sûrement trop. Mais 8,5 points, c’était quand même pas beaucoup. La je suis à peu près 140e joueur mondial. Sans vouloir me plaindre, dans l’ancien système, je serais largement top 100. Aujourd’hui, entrer dans le top 50 en ne jouant que des tournois réguliers du DP World Tour, c’est quasiment impossible. »  Et revient la petite musique du classement plus ou moins biaisé, mais cette fois émise depuis l’autre rive de l’Atlantique.

Un problème de Majeurs

Ayant vu naître le classement mondial lorsqu’il était professionnel de circuit,  Patrice Barquez , aujourd’hui consultant pour  Canal + , est encore plus direct.  « Je pense que ce classement mondial, il bat de l’aile, il n’a plus de sens,  lance-t-il.  Il faudrait, dans l’idéal, retrouver un système plus simple, plus basique, comme au tennis. Mais dans le golf, c’est compliqué, car il y a les PGA, et en plus les Majeurs, qui sont indépendants. »

Les Majeurs, justement, sont l’une des données principales du problème. En effet, même si des épreuves de qualification existent pour trois d’entre eux, la possibilité d’y participer est largement conditionnée par le classement mondial.  « Typiquement, ne pas être dans le top 100 mondial, ça m’enlève la possibilité de jouer le PGA Championship,  illustre Antoine Rozner.  Et, pourquoi pas, d’y faire une belle performance. »

Autre possibilité, pour grimper dans la hiérarchie mondiale : accrocher le top 10 de la  Race to Dubai  en fin de saison, pour gagner un droit de jeu sur le PGA Tour. Une nouveauté de cette saison 2023 qui offre une belle opportunité aux meilleurs joueurs du circuit basé à Wentworth. Mais pour ce dernier, cette passerelle est également la vision d’un écart qui, mécaniquement, continuerait de grandir.

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L'éclosion de Paul Lapeira, vainqueur sur le Tour du Pays basque : "Je ne sais pas ce qui m'arrive"

Mis à jour 02/04/2024 à 18:55 GMT+2

Boudé par les meilleurs sprinteurs du monde avec son profil difficile, le Tour du Pays basque offre beaucoup de possibilités comme à Cambo-les-Bains ce mardi sur la 2e étape. Encore faut-il avoir les jambes et du cran. Paul Lapeira (Decathlon-AG2R La Mondiale) avait les deux, gonflé de confiance par ses succès récents. Son éclosion au plus haut niveau se poursuit.

La surprise lapeira : comment le français a surclassé tout le monde au sprint.

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Hero Indian Open - Day one digest

Everything you need to know from day one in New Delhi.

There was a tie at the top, Matthew Southgate was left sweating after a visa mix up, Sebastian Söderberg had one of the maddest rounds you'll ever see and there was some brilliant shot making on day one of the Hero Indian Open .

Here is everything you need to know from the opening round at DLF Golf & Country Club.

Trio tied at the top

Matteo Manassero continued his fine recent form to join Joost Luiten and Keita Nakajima at the top of the leaderboard. The Italian created one of the stories of the season earlier this month when he won the Jonsson Workwear Open for his first DP World Tour victory in almost 11 years, completing a remarkable comeback after losing his card in 2018. His bogey-free 65 saw him sit next to early pacesetter Luiten and they soon had Nakajima for company as the Japanese came home in 30 to also get to seven under. English pair Sam Bairstow and Jordan Smith were then one shot off the lead alongside Frenchman Romain Langasque.

C'est la visa for Southgate

Southgate  only just arrived in time for the opening round after an admin error with his visa application left him waiting in a hotel room in Singapore studying Youtube videos and yardage charts to prepare for one of the toughest courses on the DP World Tour. The Englishman carded an impressive five birdies during an opening round level-par 72 after arriving in India just a few hours before his tee time. He had still been in Singapore at 9pm local time on Wednesday night when he found out that a new application had been approved and he was going to be able to make his Thursday tee time in New Delhi. Until that moment, it was something which had very much been in doubt. "I was supposed to be coming Monday afternoon and obviously like a lot of us I have two passports, so I've travelled with my slightly older passport and the visa application had gone into the new one, so it's a bit of an admin error really," Southgate explained. "I had photos of all the yardage charts sent through to me, which is helpful. And then I watched as much on YouTube as I could."

Söderberg's wild ride

When Söderberg made six birdies in a row from the second to be six under after seven holes, nobody at the course could quite believe how easily one of the toughest tests on Tour was being tamed. There was already talk of Shubhankar Sharma's course-record 64 being shattered but then the Swede made an eight on the next. In the remaining ten holes he would take his birdie tally for the day to nine but also add a bogey and another eight at the 14th to finish the day with a 71.

Shot 1: Water 🌊 Shot 3: Fairway ✅ Shot 4: Water 🌊 Shot 6: Duff 🫣 Shot 7: Lip out 😡 Shot 8: Putt made 😰 A hole to remember for Sebastian Söderberg...👀 #HIO24 pic.twitter.com/92CrY0ZNJQ — DP World Tour (@DPWorldTour) March 28, 2024

Is this the craziest round you've ever seen?! 😲 Sebastian Söderberg makes NINE birdies and shoots a 71 (-1). #HIO24 pic.twitter.com/HrfHkwdlLw — DP World Tour (@DPWorldTour) March 28, 2024

Hidalgo feeling at home

Angel Hidalgo compared DLF G&CC to his favourite course in the world after firing an impressive 67 over the intimidating layout. The venue looks nothing like anything else the players face all year on the DP World Tour, with its intimidating tee-shots, huge changes in elevation and dramatic landscaping and bunkering. But Spaniard Hidalgo - after pairing eight birdies with a bogey and a double on day one - revealed he felt it played like Real Club Valderrama, the storied venue in his homeland which hosted the Ryder Cup in 1997. "To be honest this is the most similar course we have to Valderrama, which is probably my favourite golf course, which is one you need to play really hard and fight," he said. "This is an ideal one."

A bit of everything

Hit pins, chip-ins, near aces and remarkable recoveries - day one had the lot.

The basics of reading a putt by the grain on the green

Understanding the grain on the green can be the reason a player makes or misses a putt.

DP World Tour Partners